les prés

Enfin une sortie pour Féline, je lui met son licol, et l'entraine tranquillement vers le pré, une fois a l'intérieur, elle se lance, en fait plusieurs fois le tour, hennit à qui veut l'entendre. Je la regarde amusé, puis elle se calme, viens vers moi, les oreilles dressés, après une caresse et un câlin, je décide qu'il est temps de partir ;
"- Je reviens te chercher bientôt sois, sage".
Féline comme si elle m'avait compris retourne vers le centre du pré, et se met doucement à brouter. Me voyant partir, Louna accourue, sortie du pré, et se précipita à mes côtés.

Une bonne heure après je reviens chercher Féline, la malheureuse était couverte d'herbe, c'est ce qui faisait son bonheur, mais pas le mien, j'était bonne pour un grand nettoyage.
"- Féline, viens la ma grande." Féline, tendit la tête vers moi, mais continua à manger, surprise, j'entre dans le pré, m'avance doucement vers elle, je lui parle doucement tout en m'approchant :
"- Et ben alors ma grande, tu ve pas rentré ?"
Pour toute réponse Féline avança a l'oposé de moi ! Plus je m'apporchais plus elle partait au petit trot, tout en hennissant de joie, je décidais de faire demi-tour :
"- Bon si tu veux pas venir ok, a plus tard Féline."
Mais à ma grande suprise quelques instants après je sentit le chanfrein de Féline tout contre mon dos, je me retourne et l'embrasse :
"- Alors tu voulais me faire tourner en bourique ?? Allé il est temps de rentrer pour te nettoyer un peu."

Je n'avais pas conduit Féline au pré, mais je restais là a contempler la nuit qui arrivait. Ma chienne s'était arrêté a mes côtéset assit sur son postérieur, nous fixions l'horizon en silence.

Louna passa sous la barrière et couru dans le pré, Féline trépignait d'impatience et voulait la rejoindre. J'ouvris la barrière et je laissais partir Féline qui s'élança dans un hennissement de joie. Je les regardait quelques instants s'amuser et je partit vers ma maison. Louna me rejoind en courant laissant Féline se détendre dans le pré.

Je revins chercher Féline, qui accourut à ma rencontre. Le pré devait être gadouilleux car elle avait les sabots et les chevilles complétement noir.
"- Et bien tu es bonne pour une petite douche !" Je sortit donc Féline direction la douche.